Marche-canicule
Nous terminons les marches du jeudi dans la Forêt de Sorbets, à Cazaux d’Angles, sur le sentier d’interprétation balisé et entretenu par les chasseurs. Dans la forêt, de larges fenêtres laissent voir la campagne gersoise toute dorée des blés déjà mûrs.Quand nous sortons de l’ombre, nous sommes éblouis par la lumière du soleil qui nous guettait avec toute son ardeur. 
C’était le moment d’ouvrir les parapluie,de remettre les chapeaux ! La petite côte nous a donné l’occasion d’éliminer les toxines accumulées pendant l’ hiver.La chaleur peut avoir du bon ! A la Guinguette, un petit punch bien frais nous attendait sous la tonnelle. Le repas fut « chaleureux » . Si le carry avait un accent réunionnais, le poulet était bien gersois! la chair tenait solidement à l’os !
L’eau turquoise du lac et sa petite plage auraient pu nous tenter, mais non ! nous choisissons de rentrer dans nos voitures brûlantes pour retrouver au plus vite un peu de fraîcheur à la maison !
Nous apprécions toujours ceux et celles qui viennent nous rejoindre à midi pour partager ces moments de convivialité et d’amitié. Nous les en remercions.
Le raton
Bilan des activités sportives
Marche du jeudi : Chaque jeudi à 14h, le groupe des marcheurs part sur les sentiers balisés par les communes gersoises, chemins qui sont de plus en plus nombreux et bien entretenus. Ces randonnées nous font découvrir le patrimoine de ces petits villages : église, chapelles, lavoirs, moulins, châteaux, mais aussi une campagne diversifiée : champs ensemencés, haies fleuries, prairies naturelles, bosquets, forêts : un paysage où la nature est encore préservée. Le nombre de participants est assez variable, mais la marche a encore ses fidèles ! Les accompagnateurs essaient de proposer des itinéraires nouveaux et adaptés au temps et à la saison, pour leur donner tout leur intérêt. Merci à eux.
La dernière marche de la journée qui a eu lieu le 22 juin, a permis de visiter le village de BAZIAN, (voir article ci-dessus et photos dans la galerie).
Sorties à la Montagne
Le bilan est moins optimiste : en effet les montagnards se font rares (entre 6 et 16, grand maximum), surtout en hiver. Les raisons sont diverses mais je sens une diminution de motivation. C’est sûr, la montagne demande un effort, sommes-nous encore volontaires pour le faire ? Ce sont les sorties à la journée qui n’attirent plus grand monde, car les séjours à la montagne sont toujours très prisés. Que faut-il en conclure ?
Nous ferons à la rentrée une réunion pour décider du nouveau programme et constituer un planning avec quelques volontaires.
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